L’association Mare Vivu se bat pour la sauvegarde du milieu marin en Méditerranée. Pour cela, elle passe par la science participative et la pédagogie. Son plan, CorSeaCare, vient d’être retenu par le ministère de la Transition écologique dans le cadre d’un appel à projet national.
Pierre-Ange Guidicelli a 25 ans. Il vit à Pino, dans le Cap-Corse. Il a une passion : la mer. « J’ai toujours plongé. Et à mon échelle de temps, j’ai vu l’évolution des pollutions en Méditerranée », se désole-t-il.
Alors il y a deux ans, il monte l’association Mare Vivu. Son but, se battre pour la sauvegarde de l’environnement marin en Méditerranée. Cette mer, qui ne représente que 1% de la surface totale des océans, accueille pourtant 15% de la biodiversité connue. « Actuellement, 50% de ses espèces sont en voie de disparition. Ça touche les cétacés, les requins, ou encore les crustacés », alerte Pierre-Ange Guidicelli.
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